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Au lieu de fondre,

1 octobre 2008

i wish i could see you soon

MY HOME IS NOWHERE WITHOUT YOU mais c'est quoi, tous ces hasards qui tendent à faire pleurer les corps fragiles, quelle est la force supérieure qui a instauré la suprise malencontreuse des amours absents, toujours, tes bras ne servent rien sans un cadavre...
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17 septembre 2008

Nothing came out.

Samuel devient un bourdonnement alentour, une métamorphose est apparue, gigantesque devant mes yeux, un sourire et l'histoire débute, trop facilement dans ma tête, la rue comme décor et un type arrogant qui est trop loin. Il y a des adultes tendres, leur...
28 août 2008

Tu te caches, monstre.

Un visage barbu aux yeux rouges se rapproche dans le wagon surréaliste où l'on boit du vin rosée dans des verres vendus à clint eastwood, douze euros les trois. Tu vois flou, le temps entre parenthèses. Où sont donc les limites, derrière une vitre avec...
8 juillet 2008

On the nature of daylight.

Il y a toujours ce sentiment qui revient malgré tout, quelque chose qui n'est pas encore fini à l'intérieur. Je reviens toujours vers le passé et après, plus rien, des vieux souvenirs qui grattent. J'aimerais être grande et voir le monde de plus haut,...
25 juin 2008

Kansas city shuffle.

Kansas city shuffle.
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13 juin 2008

L'art est-il soluble dans la violence ?

Tu es au dessus de tout, on dirait que rien ne t'atteins, tu es là, face au monde, tu le regardes avec un tendre amusement. Tu es hors de tout, impalpable; et même si on s'écroule, tu restes en survol des choses. Avec toi, rien n'a d'importance, et la...
7 juin 2008

Shut up and let me go.

Le monde se tait, la compréhension du vent par les pleurs de/pour l'humanité se joue de nous, et si on aperçoit une lueur au loin, c'est que quelqu'un attend et alors, la mer devient fumée.
7 avril 2008

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Je vibre moi, je souffre ; je suis dans un état d'inquiétude perpétuelle.
25 mars 2008

The rain.

Il aurait fallu ne rien voir, ne rien entendre, ne rien lire, pour pouvoir créer quelque chose qui vienne du plus profond de soi.
14 mars 2008

it's a sight to be hold

Quand je dessine, les gens finissent toujours par ressembler à des monstres, de toute façon ils ne me parlent que d'une seule et unique voix, je les perçois comme une masse entière et informe, ils m'affrontent et même si certains portent des manteaux...
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